Le rebelle est un film sorti en 1949 et dirigé par King Vidor. Il est interprété pour les rôles principaux par Gary Cooper et Patricia Neal.
Le film est tiré d'un roman de Ayn Rand dont le titre original est "The fountainhead", qui est un plaidoyer pour l'individualisme et la réconnaissance du créateur et de son oeuvre face au collectivisme. A prémieure vue le sujet peut sembler ennuyant mais c'est sans compter sur la direction magistrale de King Vidor et le jeu parfait des protagonistes.
Gary Cooper est ici Howard Roark, un architècte visionnaire qui réfuse de se plier aux règles imposées par ceux qui détiennent le pouvoir et qui veulent imposer leurs idées en matière de conception architecturale, à savoir, une uniformité créative et fondée sur les principes qui "ont toujours marché". Roark se refusera à rentrer dans ce moule et préferera aller casser des pièrres dans une carrière où il rencontrera Patricia Neal, une riche héritière.
Celle-ci est une sauvageone habituée à avoir ce qu'elle désire et essaiera de plier Roark à ses caprices, mais elle se heurtera à l'indomptabilité de ce dernier. Elle l'attirera chèz elle avec un prétexte et s'ensuivra une scène mémorable de passion débordante. Ayant trouvé chaussure à son pied pour la prémière fois, elle tombe follement amoureuse de Roark et essaye en vain de lui faire entendre raison, c'est à dire, se plier aux éxigences des promoteurs pour pouvoir éxercer son talent. Ne réussissant pas à le faire changer et rédoutant de ne pas pouvoir supporter la vie avec lui dans ces conditions, elle le quittera.
Roark sera appellé à l'aide par un collège qui se heurte à l'impossibilité de créer un ensemble de logements sociaux qui s'adaptent aux contraintes qu'on lui impose et il acceptera de le faire à la seule condition que l'on ne modifie pas son oeuvre, ce qui ne sera pas respecté. Considérant son oeuvre trahie, il fera tout exploser et se laissera librement arrêter et juger.
Lors de son plaidoyer, qui est le plus long discours de l'histoire du cinéma, il défendra la création en tant que propriété individuelle face aux parasites qui veulent se l'appropier au nom du collectivisme, ce qui est en fait le message premier du roman et du film.
Gary Cooper et Patricia Neal sont parfaits dans leurs rôles et même si le film a un peu vieilli il est à conseiller pour le message qu'il véhicule, à savoir, que l'individu est maître de sa pensée et de son talent. Pendant le tournage du film, Gary Cooper et Patricia Neal vécurent une passion tellement débordante que Gary Cooper quitta sa femme pour s'installer avec elle. Patricia Neal, qui était connué pour sa voracité amoureuse épuisa Cooper dont la réputation n'était pas en reste. Une fois la passion retombée, Cooper retourna auprès de sa femme, la seule qu'il ait jamais épousée qui lui pardonna, comme elle fit avec les précedentes et les suivantes.
Le film est tiré d'un roman de Ayn Rand dont le titre original est "The fountainhead", qui est un plaidoyer pour l'individualisme et la réconnaissance du créateur et de son oeuvre face au collectivisme. A prémieure vue le sujet peut sembler ennuyant mais c'est sans compter sur la direction magistrale de King Vidor et le jeu parfait des protagonistes.
Gary Cooper est ici Howard Roark, un architècte visionnaire qui réfuse de se plier aux règles imposées par ceux qui détiennent le pouvoir et qui veulent imposer leurs idées en matière de conception architecturale, à savoir, une uniformité créative et fondée sur les principes qui "ont toujours marché". Roark se refusera à rentrer dans ce moule et préferera aller casser des pièrres dans une carrière où il rencontrera Patricia Neal, une riche héritière.
Celle-ci est une sauvageone habituée à avoir ce qu'elle désire et essaiera de plier Roark à ses caprices, mais elle se heurtera à l'indomptabilité de ce dernier. Elle l'attirera chèz elle avec un prétexte et s'ensuivra une scène mémorable de passion débordante. Ayant trouvé chaussure à son pied pour la prémière fois, elle tombe follement amoureuse de Roark et essaye en vain de lui faire entendre raison, c'est à dire, se plier aux éxigences des promoteurs pour pouvoir éxercer son talent. Ne réussissant pas à le faire changer et rédoutant de ne pas pouvoir supporter la vie avec lui dans ces conditions, elle le quittera.
Roark sera appellé à l'aide par un collège qui se heurte à l'impossibilité de créer un ensemble de logements sociaux qui s'adaptent aux contraintes qu'on lui impose et il acceptera de le faire à la seule condition que l'on ne modifie pas son oeuvre, ce qui ne sera pas respecté. Considérant son oeuvre trahie, il fera tout exploser et se laissera librement arrêter et juger.
Lors de son plaidoyer, qui est le plus long discours de l'histoire du cinéma, il défendra la création en tant que propriété individuelle face aux parasites qui veulent se l'appropier au nom du collectivisme, ce qui est en fait le message premier du roman et du film.
Gary Cooper et Patricia Neal sont parfaits dans leurs rôles et même si le film a un peu vieilli il est à conseiller pour le message qu'il véhicule, à savoir, que l'individu est maître de sa pensée et de son talent. Pendant le tournage du film, Gary Cooper et Patricia Neal vécurent une passion tellement débordante que Gary Cooper quitta sa femme pour s'installer avec elle. Patricia Neal, qui était connué pour sa voracité amoureuse épuisa Cooper dont la réputation n'était pas en reste. Une fois la passion retombée, Cooper retourna auprès de sa femme, la seule qu'il ait jamais épousée qui lui pardonna, comme elle fit avec les précedentes et les suivantes.
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